Deux dauphins remis en liberté en juin!
L’association Korean Animal Welfare a annoncé ceci le 20 mai. Deux dauphins Indo-pacifique captifs, nommés Taesan et Boksoon sont en voie d’être relâchés à l’état sauvage. Ils sont actuellement dans un bassin en pleine mer, après avoir quitté le zoo de Séoul et réapprennent à manger du poisson vivant. « Ils sont considérés comme un véritable défi aux arguments de parcs marins que les dauphins capturés dans la nature ne peuvent pas être libérés » confirme Marino, directeur du centre Kimmela pour le plaidoyer des animaux. Ces dauphins faisaient partie d’une prise illégale faite en 2009 et 2010 pour le Pacific Land, ils ont donc vécu en captivité pendant 5 ans. En mars 2013, la Cour suprême de la Corée du Sud a ordonné à Pacific Land de renoncer à 4 de ces dauphins (dont Taesan et Boksoon). Lorsque Sampal et Chunsam, (les deux autres dauphins) ont été libérés en juillet 2013, Taesan et Boksoon ont été jugés trop malades. Fin juin, ils iront donc les rejoindre ainsi que plus de 120 dauphins au large de Jeju.
Photo: Jean Chung
Comment utiliser des invertébrés pour lutter contre les pollutions et ravageurs
Cette vidéo montre les recherches et les progrès en cours en matière de prévention de la pollution des sols. On y découvre que le ver de terre aide à aérer le sol. Cela implique que les bactéries capables de digérer l’atrazine, un herbicide, se multiplient et dégradent davantage de polluant. En 2009, dans la plaine du Crau, vers Arles, une catastrophe écologique s’est produite: des canalisations d’oléoducs se sont rompus et 4500 mètres cubes de pétrole se sont déversés dans ce paysage unique en Europe. Des fourmis moissonneuses ont été utilisées pour retrouver la végétation d’origine, car en se déplaçant et amenant de la nourriture dans leur nid, elles perdent des graines en chemin. Ces dernières germent et permettent de recréer le paysage perdu. Finalement, nous apprenons que l’ingénierie écologique peut aider grandement les producteurs de fruits et légumes qui souhaitent limiter la quantité de pesticides utilisés. En effet, en utilisant des insectes utiles qui se nourrissent ou tuent les insectes nuisibles, nous gardons l’équilibre naturel.